CIMOCHE

Depuis le mois d'août, un fim de cinématographe fait les délices des critiques de tout bord et de tout côté. C'est une petite saloperie très laide qui encense la grande délinquance en glorifiant l'ascension d'un petit voyou qui devient un grand criminel. Tout le monde, de droite à gauche salue bien bas cette petite crotte dont l'odeur nauséabonde m'empeste.
Aujourd'hui pour avoir la cote il faut singer les voyouseries américaines. Si un égaré se fourvoyait, disons, dans l'histoire d'une petite instit' qui à force de volonté et d'intelligence finirait sa carrière au Collège de France, il ne ferait pas une entrée parce que trop tendre, trop moral, trop "franchouillard" et pas assez "américanouillard".
Plus un film français est laid et ressemblant à un mauvais film américain, plus il est considéré comme étant une belle œuvre professionnellement correcte. Quand on pense que Woody Allen et Steven Spielberg ont eut Truffaut comme modèle…
Allez, je vais retourner voir Gran Torino qui est tout le contraire, même s'il est un petit peu culcuré la praline..